« C’est pratique de faire ce qu’on attend de nous, c’est très reposant. (…) Comme ça on a une excuse (…). On se fait croire qu’on est coincé, qu’on y peut rien, que c’est la vie qui a décidé. (…) et c’est ce choix qui nous définit, même si c’est ce choix qu’on ne fait pas. »
Voici ce que j’ai entendu dans le 1er épisode de la série ‘la faute à Rousseau’
Je suis d’accord avec cette analyse. C’est commode de laisser les autres décider pour nous – voire DE nous – et ainsi de nous dégager de nos responsabilités, subrepticement.
Un choix (ou ne pas en faire) reste un choix.
Nous sommes la sommes de nos choix disait d’ailleurs Jospeh O’Connor.
On connait tous l’adage d’ailleurs « choisir, c’est renoncer ». Je dirai plutôt que choisir, c’est prioriser. Faire le choix, conscient, de ce qu’on (se) souhaite en acceptant les dommages collatéraux.
Quel choix allez-vous faire pour vous ce weekend ?
Raphaëlle
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