On parle beaucoup de compétences, de les développer, de les trier selon qu’elles soient soft, hard ou mad 🧠📈. C’est sûr que c’est plus vendeur… Annoncer ce qu’on ne sait pas faire ou être, c’est prendre un risque. Celui de se faire
exclure d’une manière ou d’une autre ❌.
Corrélé bien sûr mais moins exprimé, l’incompétence est probablement plus importante encore que la compétence.
C’est ce qui définit justement la compétence à atteindre 🎯.
Sauf qu’assumer son incompétence n’est pas donné à tout le monde. Cela demande de la confiance en soi 💪, de la lucidité 👓, de l’honnêteté 💡 et de l’humilité bien sûr. Certains métiers rendent cette incapacité même dangereuse ⚠️. Je pense
à la sphère médicale par exemple 🏥. J’ai la chance (sincèrement) d’être suivie par un médecin qui a su me dire qu’il était arrivé à ses limites pour me permettre une prise en charge adaptée, ailleurs.
Bien que nous ne réalisions pas tous d’opération à cœur ouvert ou de craniotomie, reconnaître où commence notre champ d’action et où sont nos limites me paraît essentiel.
Qu’on soit salarié ou free-lance, les conséquences sont bien négatives : erreur, faute professionnelle, confiance mise en jeu, perte de temps et aussi d’argent 💸… Alors qu’assumer serait si sincère et honnête ❤️. Car c’est en le reconnaissant qu’on peut apprendre 📚 et réduire ses limites.
Savoir tout faire en tant que free-lance ou salarié, c’est faux et c’est normal 🕊️.
L’incompétence va de pair avec la compétence. L’une n’existe que parce que l’autre l’éclaire 🌅.
Ce sont les deux facettes d’une même pièce, de vous-même ⚖️.
Et ne dit-on pas qu’à vouloir être partout, on est nulle part ? 🌍
Raphaëlle
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