Rien ne peut changer si on ne change rien.

Quand on estime que nous méritons mieux, que sommes-nous prêts à faire pour l’obtenir ?
Que sommes-nous prêts à lâcher pour y arriver ?

On veut que ça bouge, mais sans bouger.
On aspire à mieux, mais sans rien lâcher.
On réclame du changement, mais sans s’engager.

Le changement implique un mouvement. Une action. Une résistance.
L’immobilisme, lui, nous fige dans un confort inconfortable, un entre-deux où l’on espère sans agir.

Alors, veut-on vraiment que ça change ? Ou juste que ça change… pour nous mais sans nous ?

PS : la phrase a été entendue tel quel dans la série Retour à Sullivan’s crossing

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